FIP STRASBOURG

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Dans le studio strasbourgeois de FIP, Agnès s'apprête à prendre l'antenne

FIP. Des radios de notre service public, celle-là en est la pépite, dit-on. Mais qu'y a-t-il derrière ce mot ?

Poussons la porte de l'un de ses studios, pour faire connaissance avec les FIPettes de Strasbourg, leurs visions, leur recettes.

 

Série documentaire en 3 volets, enrichie par le regard du photographe Claude Truong-Ngoc et du pianiste Gregory Ott (habillage musical pour Agnès et Cath).

Diffusée sur les réseaux sociaux.


club de la presse bordeaux communiqué Du son, pour changer FIP Strasbourg

Les morceaux passés à l'antenne et entendus...

 

dans Véro, Panoramix :

  • dès 16'10 : Superbravo, Mon nom, Zamora Label, 2017 (Rodrigo Amarante)

 

dans Agnès, aux pinceaux :

  • dès 3'09 : Johnny Halliday, Casualty of love, Philips, 1983 (S. Stapley / B. Bergman / A. Bashung)
  • dès 3'32 : Camille, Que je t'aime, Virgin, 2012 (J. Renard / G. Thibaut)
  • dès 13'33 : Gainsbourg/Birkin, 69 année érotique, Phonogram, 1969 (S. Gainsbourg)
  • dès 13'52 : Chinese Man, Step Back, Chinese Man Records, 2017 (Chinese Man)

 

dans Cath, les pieds sur la moquette :

  • dès 0'01 : Sammy Miller & the Congregation, In the morning light, autoproduction, 2017 (Sammy Miller)
  • dès 11'34 : André Prévin et le London Symphony Orchestra, Le vol du bourdon, Label RCA, 1999 (Nikolaï Rimski-Korsakov)
  • dès 12'35 : Vampire weekend, Everlasting arms, Label XL Recordings, 2013 (Rostam Batmanglij / Ezra Koenig)